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The Chronicles of Sword and Sand [Dabir and Asim]

Titre VO: The Chronicles of Sword and Sand [Dabir and Asim] (Ce Cycle est En Cours)

Auteur/Autrice : Howard Andrews Jones (Proposer une Biographie)
The Chronicles of Sword and Sand [Dabir and Asim]

The Desert of Souls

Baghdad in the eighth century: a mysterious object comes into the possession of the royal Jaffar. He instructs Asim, captain of the royal guard, and Dabir, a scholar, to solve the mystery of the object’s inscription. The object is stolen, but not before Asim and Dabir have uncovered tantalizing clues to its history: it appears that it may have come from Ubar, a lost city that was, or so the legend goes, destroyed by God. But can Asim and Dabir uncover the secrets of the lost city before their own lives are lost, too?

The Chronicles of Sword and Sand [Dabir and Asim]

The Bones of the Old Ones

As a snowfall blankets 8th century Mosul, a Persian noblewoman arrives at the home of the scholar Dabir and his friend the swordsman Captain Asim. Najya has escaped from a dangerous cabal that has ensorcelled her to track down ancient magical tools of tremendous power, the bones of the old ones.

To stop the cabal and save Najya, Dabir and Asim venture into the worst winter in human memory, hunted by a shape-changing assassin. The stalwart Asim is drawn irresistibly toward the beautiful Persian even as Dabir realizes she may be far more dangerous a threat than anyone who pursues them, for her enchantment worsens with the winter. As their opposition grows, Dabir and Asim have no choice but to ally with their deadliest enemy, the treacherous Greek necromancer, Lydia. But even if they can trust one another long enough to escape their foes, it may be too late for Najya, whose soul is bound up with a vengeful spirit intent on sheathing the world in ice for a thousand years…


Critique

Par Gillossen, le 23/12/2012

2012 semble décidément représenter un bon cru pour le sous-genre sword and sorcery, qui traverse un véritable renouveau ! Après un Throne of the Crescent Moon par exemple en début d’année, voilà que celle-ci se termine en beauté avec la sortie de The Bones of The Old Ones, suite de The Desert of Souls.
Deux romans signés d’un certain Howard Andrew Jones. Bon… Bien sûr, cela ne veut rien dire en soi, mais pouvoir compter sur un “Howard” facilite apparemment les choses dans ce domaine…
Pour aborder plus sérieusement les qualités des deux romans en question, il faut tout d’abord remarquer qu’ils mettent en avant tout ce que l’on peut attendre du genre : un parfait mélange de magie et d’action, prenant place dans un cadre bien établi où s’épanouissent les dangers les plus fous, un cadre jouant d’ailleurs la carte du monde oriental cette fois encore (Ah, le Bagdad des Mille et Une Nuits !).
Mais Jones dépasse nos attentes de base grâce à ses personnages. Évidemment, avec l’érudit Dabir et le capitaine Asim, on retrouve là encore un grand classique, le duo de héros popularisé entre autres par des auteurs aussi populaires que Fritz Leiber. Un duo qui prend d’ailleurs une ampleur bienvenue dans le deuxième tome, acquérant une réelle profondeur qui lui manquait un peu au cours de ses aventures initiales, même si Jones avait déjà su aller au-delà des clichés.
On peut également saluer l’imagination fertile de l’auteur, qui multiplie les inventions et les péripéties avec bonheur, et pas simplement pour son propre plaisir. Il ne se contente pas d’accumuler les séquences d’action échevelées sans queue ni tête.
C’est sans doute un autre point fort de ces Chroniques du Sable et de l’Épée, si ce n’est le principal : toujours divertissantes, elles ne prennent jamais le lecteur pour un idiot. Bon, d’accord : très rarement. Mais une fois lancé, le rythme ne baisse jamais et l’auteur semble mettre un point d’honneur à ne pas nous lâcher en route. Si vous vous laissez embarquer, il y a fort à parier que vous irez jusqu’au bout, quitte à finir sur les rotules.
Notons tout de même qu’il ne s’agit pas d’une astuce de l’auteur, d’un mirage pour nous tromper et dissimuler de véritables faiblesses narratives. Au contraire, Jones a su garder à l’esprit que la plupart des duos mythiques, au-delà de l’alchimie entre les personnages, évoluent avec le temps et c’est justement ce que l’on retrouve ici d’un tome à l’autre, même s’il est toujours possible de démarrer par le deuxième, mieux construit dans l’absolu (et “assumant” son côté fantasy bien plus encore que le premier).
Bref, vous l’aurez compris en lisant cette chronique : on attend d’ores et déjà de pied ferme un troisième tome ! Pour patienter, on pourra toujours tenter de se plonger dans les nouvelles de l’auteur, écrites dans le même univers. 
Pour celles et ceux qui liraient le présent texte au moment de sa mise en ligne, sachez que The Desert of Souls en version électronique peut même se trouver à 1£ jusqu’au 7 janvier !

7.5/10


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