181
Je partage le questionnement de Witch (et en passant j'adore l'expression "poutrer du gobelin" ). J'ai aussi cette impression que quand tu dis d'un livre "qu'est-ce que c’était cul-cul mais qu'est-ce que c'était bien" (notez d'ailleurs le "mais" que je me sens compulsivement obligée d'employer ) c'est comme si t'avais avoué un truc impardonnable, une faute de gout terrible. Alors que finalement pourquoi pas ? Pourquoi le cul-cul ça doit être (presque) forcement mauvais ?Pour reprendre l'exemple de Rhapsody, j'ai lu la trilogie en VO + les 3 autres qui suivent il y a quelque temps et donc je ne m'en rappelle pas trop précisément. C'est une série que je dirais avoir plutôt appréciée, assez en tout cas pour tous les lire et je me souviens que si j'avais trouvé le personnage de Rhapsody des fois quelque peu nunuche (sa façon de vouloir toujours trouver tout le monde gentil) j'avais par contre bien apprécié l'histoire d'amour avec Ashe (je me souviens avoir eu un gros faible pour ce personnage ). Je dirais même que pour moi une (bonne ?) part de l'intérêt de ces bouquins est venu de la présence de cette histoire d'amour bien croustillante...et...euh...aussi des scènes de sexe plutôt épicées et que sans ces éléments je pense que mon intérêt aurait été moindre.