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On a vu comment Boromir et Faramir était montrés comme frères : et d'ailleurs, pour la barbe, "normalement" les descendants des Númenoréens sont plutôt glabres.Mais il est bien de reconnaître que le choix du casting est moins de suivre les idées de l'auteur créateur de l'univers que de remplir le tiroir caisse à coups d'hormones : voilà du grand cinema.

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Je ne comprends pas trop le débat : il faut prouver qu'untel ou untel est un "héros" ? Perso, je ne vois ni Tolkien, ni Peter Jackson comme des héros. Faut pas pousser. :)

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Galéjades à part, ne voit-on personne placer Tolkien sur un piédestal et Jakson sur un pilori, posts après posts ?Ce débat-là paraît animer toute la blogosphère. Perso j'admire les deux bonshommes mais il est vrai que j'accorde par principe un peu plus de mon admiration à la performance d'un réalisateur de films qu'à celle d'un écrivain, si bons soient-ils. Ce n'est pas un hasard si les réalisateurs de longs-métrages sont bien moins nombreux que les écrivains, et puis de toute façon Je pense que c'est mon droit :1) La réalisation réclame des compétences plus diversifiées.2) Je suis reconnaissant aux cinéastes de réaliser des 'time-capsules'3) Je préfère le cinéma à la littérature, car on y voit plus d'un talent s'exprimer : Celui des acteurs, des décorateurs, des auteurs de musique, des habilleurs, etc.En même temps, ce qui n'est pas contradictoire, les défauts sont plus visibles au cinéma...... et peut-être plus nombreux dans la critique de cinéma.

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Galéjades à part, ne voit-on personne placer Tolkien sur un piédestal et Jakson sur un pilori, posts après posts ?Ce débat-là paraît animer toute la blogosphère.
Tu sais bien que le net grossit tout...
Ce n'est pas un hasard si les réalisateurs de longs-métrages sont bien moins nombreux que les écrivains
Tu prends une feuille et un crayon, tu peux écrire. Tu prends une caméra, ce qui coûte déjà plus cher, et rien ne dit que tu vas pouvoir tourner un film.Les deux me semblent incomparables.

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Exactement, d'emblée faire un film ne dépend pas que de soi, à moins de poser la caméra devant soi et de poser devant la caméra.Au ciné, les obstacles sont partout. Et une grande proportion des premiers longs-métrages sont aussi le dernier du réalisateur.Les récidivistes en trilogies-blockbusters, combien de divisions ?Comme l'a relevé Talwyn, Jackson et Lucas, point final. En attendant Cameron, peut-être, s'il navigue jusqu'au bout de ses Na'vis après avoir terminé ses Terminators.D'ailleurs il est permis de croiser les doigts, la seconde trilogie de Jackson n'est pas achevée et c'est déjà un miracle qu'elle ait pu démarrer.Même s'ils ont eu des quasi-prédécesseurs, comme Griffith, Cecil B De Mille, David Lean ou Kurosawa, cela restait des mono-longs métrages. Là, on a quand même affaire à des oeuvres qui doivent construire leur cohérence à tous les niveaux sur une dizaine d'heures de visionnage non-stop.Je pense donc qu'il n'est pas honteux d'applaudir. On en voit bien que la fin d'un concert hard-rock suffit à rendre hystériques...

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Personnellement, je comprends qu'on compare Tolkien et Lucas, qui ont fait le même travail d'agrégation d'idées de folklore et de mythes pour les modifier dans leur propre style. Il y a un vrai travail d'invention. Jackson n'a absolument pas inventé d'histoire, il a pris une oeuvre déjà créée pour la mettre en images, et mal encore... Il n'est pas honteux d'applaudir, encore faudrait-il que ça soit fait justement, en remettant à Tolkien ce qui est à lui, et en évitant de faire de Jackson un dieu de l'adaptation (sauf si c'est celui de l'adaptation ratée... auquel cas là, évidemment, je te suis parfaitement).

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Mmmm.. Pour que ton analogie entre Tolkien et Lucas fonctionne, Druss, il aurait fallu que Tolkien soit cinéaste comme Lucas, et porte lui-même à l'écran l'oeuvre de son imaginaire et de ses emprunts au folklore.

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Mais ça suffit à la fin! Avant de prendre une caméra, Lucas a bien dû utiliser du papier et un stylo, et en cela il n'était pas éloigné de Tolkien, arrête de dénigrer les écrivains pour porter les cinéastes aux nues, ça serait reposant. Chacun a du mérite dans sa branche et c'est tant mieux pour nous autres lecteurs/spectateurs/auditeurs etc. Et si on reparlait des Nains?

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?? Pour arrêter de dénigrer les écrivains pour porter les cinéastes aux nues, il aurait déjà fallu que je commence, Talwyn, mais ce n'est pas le cas.Ce n'est pas moi qui ai éprouvé le besoin, pour 'défendre' Tolkien, de le comparer avec le cinéaste Lucas, et ce n'est pas non plus dénigrer Tolkien que de rappeler qu'il n'était pas cinéaste. C'est juste une réalité basique qui ne l'empêchait nullement d'être un écrivain passionnant, au contraire. Réciproquement, la réputation de Lucas comme écrivain n'a pas pour l'instant mis en transes les académies, mais ça ne l'empêchait pas d'être un cinéaste très respectable et respecté...Et puis si tu trouves que c'est fatigant d'entendre dénigrer, pourquoi donc supportes-tu que P Jackson et son dernier film soient dénigrés à longueur de posts ?Quant à reparler des nains, je ne demande que ça, moi. A ce sujet je me permets de te rappeler que nous sommes sur la section du forum consacrée aux films inspirés de Tolkien et que j'y ai même ouvert un jeu consacré aux scènes du film où figurent les nains.. :sifflote:

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Les différentes formes de barbes permettent effectivement de différencier les Nains. Cependant, des capuchons de couleurs différentes, comme c'est le cas dans le livre, l'aurait permis tout aussi bien.Je m'interroge sur les raisons qui ont poussé à supprimer ces capuchons. Est-ce parce que des capuchons colorés n'auraient pas fait "sérieux" ? Pas assez "moyen-âgeux" ? Je constate que la plupart des films (estimation à la louche basée sur les films que j'ai vu...) se déroulant dans un univers évoquant plus ou moins le Moyen Âge, les personnages sont globalement habillés dans des tons assez ternes, sépias, verdâtres et autres gris, rarement avec des couleurs éclatantes. Pourtant quand je regarde des miniatures, je vois au contraire des personnages habillés de couleurs très vives.

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Eldermê a écrit :Les différentes formes de barbes permettent effectivement de différencier les Nains. Cependant, des capuchons de couleurs différentes, comme c'est le cas dans le livre, l'aurait permis tout aussi bien.
Je ne suis pas certaine (et je crois avoir déjà fait une réponse dans ce sens dans ce sujet ou un autre ;) mais peu importe) que les gens auraient mieux "fixé" la personnalité ou le nom des nains avec juste une différence de couleur dans les capuchons. Allez je tente onze couleurs (oui je sais noir, blanc toussa) rouge, bleu, jaune, violet, vert, orange, rose, marron, blanc, noir, gris. Ok mais après on dit quoi pour parler d'eux : le nain marron ? le nain rose ? le nain jaune (elle était facile ;) ) Pourquoi pas ? Pas certaine que ça rajoute en crédibilité ou sérieux à la troupe déjà considérée par certains comme maltraitée par PJ. Moi les différences de barbe et de physique m'ont plutôt aidée... Enfin cela dit de toutes façons je ne suis pas la bonne cliente pour ce débat j'ai zéro mémoire :D

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Normalement, entre les barbes et les couleurs de capuchons, on repère assez vite les "parents" ; ensuite ça ne changera jamais que celui qui n'a que deux lignes de textes (hein, Dori ?) aura du mal à se faire reconnaître même s'il était le nain digo.

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Dori ? Sauf erreur, il doit avoir 6 interventions à texte...Bonne chose à mon avis qu'ils troqué les couleurs de capuchon contre des couleurs de pourpointSi seuls les capuchons avaient été colorés et le reste en monofeutre ou cuir, on ne s'en serait jamais sortisLà, c'est surtout par tout un ensemble de traits distinctifs qu'on les distingue sans pouvoir les confondre.

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Soit on applique la méthode du livre en bouchant les tonneaux et les nains se font tournebouler pendant tout le voyage, soit on va au cinema et on détermine une densité des pieds de nains suffisante pour lester le fond de la barrique.On notera aussi que Bombur arrive à entrer dans un tonneau sans le défoncer, donc il est assez souple en fait.

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Will. a écrit :Le TGCM résout tout.
Mais il existe une règle implicite : Fuir les MDJ qui utilisent plus de deux TGCM par session !Si on applique le TGCM au film, je pense qu'on arrive à plus de deux...

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En fait (pour avoir été présent sur le tournage de cette scène), il y avait une tige avec un poids sous le tonneau pour qu'il puisse tenir. Elle est là la magie...