2
Les premiers screens sont vraiment superbes. J'espère qu'ils vont pas tout miser sur la pseudo-originalité du "méchant qui a gagné" et que l'univers aura plein d'autres trucs intéressants à raconter. Les premières images semblent avoir un petit aspect Antiquité pas désagréable, notamment.En tout cas, c'est cool qu'Obsidian déroule ses propres licences comme ça :)

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Merwin Tonnel a écrit :En tout cas, c'est cool qu'Obsidian déroule ses propres licences comme ça :)
Y a un petit goût de Dark Sun :)Dans le sens administration par des loyal mauvais/neutre.J'ai aimé leur taff sur Pillar, donc Tyranny je vais suivre

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J'aime bien le concept du Mal qui a remporté la victoire avec un monde et un scénario qui s'annoncent de fait très sombres. Les screens et la musique sont en effet superbes. J'ai hâte d'en savoir plus. :) Merci pour l'info.

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Benedick a écrit :
Merwin Tonnel a écrit :En tout cas, c'est cool qu'Obsidian déroule ses propres licences comme ça :)
Y a un petit goût de Dark Sun :)
Plutôt de midnight, dans lequel le joueur incarnerait un Légat selon moi. :)

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Aion a écrit :
Benedick a écrit :
Merwin Tonnel a écrit :En tout cas, c'est cool qu'Obsidian déroule ses propres licences comme ça :)
Y a un petit goût de Dark Sun :)
Plutôt de midnight, dans lequel le joueur incarnerait un Légat selon moi. :)
Tu as raison !J'ai jamais joué à Midnight mais un libraire m'en avait parlé.

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Effectivement, Midnight part du postulat que le dieu du mal, Izrador, est parvenu à couper le monde des autres dieux et à vaincre les "forces du bien" lors de sa troisième invasion, mettant ainsi la planète en coupe réglée.L'action se déroule 100 ans plus tard (si je me souviens bien), et la domination d'Izrador a pu s'institutionnaliser, pesant lourdement sur le quotidien des populations : la magie (enfin, celle qui reste) est interdite, le savoir est interdit, les armes sont interdites, les elfes et les nains sont tués à vue tandis que les humains ont été réduits en esclavage, la monnaie et les échanges commerciaux n'existent pratiquement plus, etc.Le respect de l'ordre établi est assuré par les prêtres d'Izrador (les seuls à avoir conservé des pouvoirs divins), appelés légats, assistés par des légions orques...Bref, un monde de joie et d'espoir! ^^Le pitch de ce nouveau jeu vidéo me faisait penser à cette situation, dans laquelle le joueur serait (au départ) du côté du mal, ce qui correspond à un des axes de campagnes suggéré dans le livre de base de Midnight (si je me souviens bien).Cela peut aboutir à un jeu intéressant et rafraîchissant, même si j'espère qu'il sera plus développé que Pillars, que j'ai trouvé un peu vide et générique (surtout comparé à Baldur's 2) au bout d'un moment. En effet, j'ai trouvé que les cartes situées entre les grosses zones d'évolution de l'intrigue étaient assez vides, et répondaient toujours au même schéma mécanique : quelques combats histoire de faire remplissage (ce qui devenait lourd à force), et systématiquement un seul point d'intérêt (mini-quête, PNJ à rencontrer,...). Par ailleurs, le côté inégal de la mise en scène m'a semblé relativement visible une fois l'intro passée : au début, il y avait de nombreuses "cinématiques" sous forme de parchemins illustrés rappelant furieusement les livres dont vous êtes le héros... Et puis, une fois passé le premier centre d'intérêt, c'est le désert aride à ce niveau, ce qui donne un sentiment assez désagréable de ventre mou dans la narration (et, à nouveau, de remplissage).On était donc pas encore au niveau de la richesse de Baldur's 2, scénarisé dans les moindres détails avec des zones uniques à chaque fois, et des quêtes secondaires transversales et parfois très longues, s'étalant sur plusieurs endroits et chapitres (et ce même dans la Tour de Garde, qui est le gros donjon level up du jeu).J'espère du coup qu'Obsidian renouera progressivement avec cet esprit, à commencer par ce nouveau titre. :)