Enfin, la suite de LA saga du moment !
Les lecteurs peuvent désormais suivre Lucasia, capitaine du Mercator en quête d’un remède pour sauver son équipage frappé par une maladie inquiétante. Entre une tempête et le souvenir de Raban, ce voyou qui lui avait dérobé son cœur avant d’être prié de « marcher sur la planche », l’héroïne n’a pas vraiment de quoi reprendre son souffle.
Apple a en effet mis en ligne un extrait de onze pages de ce supposé quatrième tome, accompagné d’une lettre exclusive de son autrice, Carol Sturka.
Sauf que… ce roman n’existe pas. Il s’agit de la saga romantasy écrite par le personnage de Carol dans Pluribus, la nouvelle série créée par Vince Gilligan (Breaking Bad, Better Call Saul) et diffusée sur Apple TV+. Dans le premier épisode, Carol décrit ses propres livres comme de la « niaiserie sans cervelle » - ambiance... - avant d’expliquer que Raban devait initialement être une femme inspirée de sa compagne Helen.
Apple réitère ainsi la stratégie déjà vue avec Severance : offrir un faux ouvrage entre clin d’œil méta et humour gentiment corrosif. Les spectateurs de Pluribus pourront donc découvrir ce petit hors-d’œuvre numérique… en attendant de voir comment Gilligan compte torturer ses personnages dans la série elle-même !
Les lecteurs peuvent désormais suivre Lucasia, capitaine du Mercator en quête d’un remède pour sauver son équipage frappé par une maladie inquiétante. Entre une tempête et le souvenir de Raban, ce voyou qui lui avait dérobé son cœur avant d’être prié de « marcher sur la planche », l’héroïne n’a pas vraiment de quoi reprendre son souffle.
Apple a en effet mis en ligne un extrait de onze pages de ce supposé quatrième tome, accompagné d’une lettre exclusive de son autrice, Carol Sturka.
Sauf que… ce roman n’existe pas. Il s’agit de la saga romantasy écrite par le personnage de Carol dans Pluribus, la nouvelle série créée par Vince Gilligan (Breaking Bad, Better Call Saul) et diffusée sur Apple TV+. Dans le premier épisode, Carol décrit ses propres livres comme de la « niaiserie sans cervelle » - ambiance... - avant d’expliquer que Raban devait initialement être une femme inspirée de sa compagne Helen.
Apple réitère ainsi la stratégie déjà vue avec Severance : offrir un faux ouvrage entre clin d’œil méta et humour gentiment corrosif. Les spectateurs de Pluribus pourront donc découvrir ce petit hors-d’œuvre numérique… en attendant de voir comment Gilligan compte torturer ses personnages dans la série elle-même !