En 2006, Louise Baker, Responsable Corporate Services de ces studios de 10 000 m², n’écoutant que son sens écologique, a commandé un audit sur la consommation en énergie de son entreprise. Le rapport a révélé que l’électricité et le gaz représentaient les plus fortes consommations.
En commençant par installer des lampes à basse consommation d’énergie, elle a progressivement fait évoluer les mentalités de la société et a décidé d’impliquer tout le monde dans cette nouvelle dynamique (Par exemple, par la création d’un comité Greening the Screen -Verdissez l’écran- pour discuter des actions à mettre en place dans ce domaine).
La facture en Energie commençant à représenter une réelle problématique toutes les activités du pays, Baker se dit soulagée d’être un cran devant les autres.
Elle déclare que toutes les entreprises doivent réaliser que la Nouvelle Zélande n’est pas aussi propre et verte qu’ils le pensent et doivent revoir leur comportement. « Chaque industrie a l’opportunité de s’améliorer. Si chaque entreprise faisait son maximum pour réduire sa consommation énergétique à ce dont elle a vraiment besoin, en opposition à une consommation à tout va, le nombre de centrale électrique du pays serait certainement impacté ».
Une bonne initiative qui gagnerait à être suivie.

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