La courte présentation de ce septième album ne ment pas : le scénario avance, les rebondissements sont toujours présents... Arleston connait son affaire, pas de doute. Mais pour peu que l'on connaisse assez bien sa production, il est assez aisé d'avoir rapidement l'impression qu'il continue de recycler encore et encore la plupart des idées déjà vues dans Lanfeust et ses dérivés... Et comme Adrien Floch, sans démériter, semble avoir du mal à suivre le rythme imposé et effréné qui définit la série depuis ses débuts...
Dommage que son plein potentiel ne puisse pas être exploité à son maximum, alors que Les Naufragés d'Ythaq repartaient sur des bases un peu plus nerveuses et abouties depuis deux albums, sur le fond si ce n'est sur la forme.
— Gillossen