Publié fin juin 2025, le premier roman d’Audra Winter, The Age of Scorpius, avait tout d’un petit phénomène de l'autre côté de l'Atlantique.
Grâce à une campagne virale réussie sur TikTok, la jeune autrice de 22 ans avait notamment suscité des milliers de précommandes. Présenté comme le fruit de dix années de travail, ce projet autoédité semblait donc promis à un beau démarrage...
La réception, toutefois, a rapidement pris une autre tournure. Dès juillet, puis surtout au cœur de l’été, les critiques acerbes se sont multipliées sur Goodreads et les réseaux sociaux. Problèmes d’édition, fautes, style jugé maladroit ou histoire incohérente : beaucoup de lecteurs ont exprimé leur déception, alimentant un effet boule de neige qui a fait de The Age of Scorpius l’objet d’un véritable « drama » littéraire en août.
Face à ces réactions et alors que le roman a actuellement une moyenne de... 1,6/5 sur Goodreads, Audra Winter a reconnu publiquement les défauts de son livre et annoncé son intention de le retravailler pour en proposer une version corrigée. Une attitude qui lui a valu aussi bien moqueries que marques de soutien, certains rappelant qu’à 22 ans, publier un roman reste déjà une étape considérable.
Grâce à une campagne virale réussie sur TikTok, la jeune autrice de 22 ans avait notamment suscité des milliers de précommandes. Présenté comme le fruit de dix années de travail, ce projet autoédité semblait donc promis à un beau démarrage...
La réception, toutefois, a rapidement pris une autre tournure. Dès juillet, puis surtout au cœur de l’été, les critiques acerbes se sont multipliées sur Goodreads et les réseaux sociaux. Problèmes d’édition, fautes, style jugé maladroit ou histoire incohérente : beaucoup de lecteurs ont exprimé leur déception, alimentant un effet boule de neige qui a fait de The Age of Scorpius l’objet d’un véritable « drama » littéraire en août.
Face à ces réactions et alors que le roman a actuellement une moyenne de... 1,6/5 sur Goodreads, Audra Winter a reconnu publiquement les défauts de son livre et annoncé son intention de le retravailler pour en proposer une version corrigée. Une attitude qui lui a valu aussi bien moqueries que marques de soutien, certains rappelant qu’à 22 ans, publier un roman reste déjà une étape considérable.
Au-delà du cas individuel, l’affaire met en lumière les opportunités et les risques de la promotion virale entretenue artificiellement. Si les réseaux peuvent offrir une visibilité inédite à un premier roman, ils exposent aussi les jeunes auteurs à un retour critique d’autant plus brutal que les attentes s'étaient faites élevées.
Merci à Sodome & Gomorrhe pour avoir attiré notre attention à ce sujet !
Merci à Sodome & Gomorrhe pour avoir attiré notre attention à ce sujet !